Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question ft. Tokunaga Nao
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Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question ft. Tokunaga Nao

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Mer 26 Sep - 16:03
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question
Nao & April

Hae Rin sortait du travail. Enfin travail.... Elle venait juste de faire une heure ou deux de strip-tease, juste pour aider son protecteur. Pour se défouler un peu aussi. Mais la performance était finie et elle devait rentrer dans la grande maison où elle logeait à présent. Mais elle marchait lentement April, plus lentement que d’habitude.

La raison ? Une sensation de brûlure qui ne la quittait pas depuis la fin de sa performance. Ça avait commencé pendant qu’elle dansait et ne s’était pas arrêté depuis. La moindre respiration la brûlait de l’intérieur grâce au cadeau empoisonné de New Life. Leurs poumons en toc... Secouant la tête, elle lâcha sa queue de cheval, espérant vainement de cacher les traits de son visage. De toute façon ce n’était pas comme si elle était dans le centre-ville, qui grouillait d’informateur de la firme. Dans ce quartier pauvre, elle se sentait chez elle, en sécurité.

Continuant d’avancer, la blonde ne se rendit pas compte qu’elle se mettait un peu à tousser. Ce n’est que quand une quinte de toux violente la prix qu’elle s’arrêta, se pliant en deux. Ce n’était pas possible, elle n’allait pas faire une crise ici ? Il fallait croire que si, selon son corps. Maintenant que ça avait commencé, elle savait que ça ne s’arrêterait pas. Elle toussait, toussait et toussait. Elle cherchait sa respiration sans la trouver. Quand un peu d’air rentrait, il la brûlait de l’intérieur intensifiant la douleur que ces poumons mécaniques lui donnait depuis leur installation.

Doucement, elle sentait qu’elle faiblissait. Sans air, un corps ne peut pas vivre et même si elle savait vivre avec cette transformation ratée, les crises elle les haïssait. Même si elle essayait de rationaliser, April sentait doucement la panique la saisir. Elle avait peur de ses crises depuis toujours, peur d’y passer. Elle ne voulait pas mourir sans avoir venger Seiki, alors par des poumons ? Sûrement pas. Mais cette crise, elle la laissait au dépourvue. Rien ne l’a prévoyait, rien ne laissait penser qu’elle allait arriver. Pourtant elle était la, l’empêchant de respirer correctement, l’empêchant de bouger, ses jambes ayant finies par céder sous son poids.

Elle avait essayé de chercher ce qui la calmait dans ce genre de cas mais sans succès. Ses mains tremblaient trop pour ça. Sa vision, déjà réduite de moitié de brouillait à chaque seconde qui passait. Elle allait y passer, c’était la seule pensée de la jeune fille alors qu’elle cherchait en vain en peu d’air. Juste un peu d’air pour survivre.


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Mer 26 Sep - 18:19

   


   
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question

   
ft.  Nakamura April .

   
Qu’est-ce que je déteste devoir faire ce genre de chose …. Pourquoi avait-il fallu que ce dossier tombe sous mon nez ? Pourquoi diable avais-je du tendre l’oreille en entendant la signalisation de cette fille ? Ne pouvais-je tous simplement pas rester dans mon coin à attendant sagement que cette fichue heure au QG passe ? Bien sûr que non, et comme si cela ne suffisait en plus pas, j’ai dû prendre pour moi ce que j’avais entendu et faire mon curieux. En plus de ça, je déteste ce que l’on m’oblige à faire entant que chaineups, je ne pouvais donc pas attendre que l’on m’oblige à y aller ? Sérieusement, pauvre fille que j’observe, quand j’en ai le temps, à son travail. Si seulement elle s’avait … Malheureusement pour elle, il y a bien trop de similitudes avec cette fille activement recherché par New Life Corp, alors forcément ce soir comme d’autres soirs avant celui-là, je me suis vu contraint de m’enfoncer dans les méandres de Qujing pour la trouver.

Évidemment, au vue du travail que cette fille fait, j’ai dû quitter à contre cœur mon boulot de barman en boite de nuit plutôt que prévu pour cette fichue recherche d’information. Hors de question d’y aller cependant comme j’étais habillé, j’ai pris le temps d’enfiler un très lard pull noir à capuche par-dessus mon haut, pour camoufler au maximum mon pantalon en cuir noir. Je suis fou, mais pas au point de porter ouvertement une pancarte sur moi criant aux violes. D’autant plus que ma couleur de cheveux actuel, ne m’aide pas à passer le plus inn aperçu. D’où la capuche visée rapidement sur ma tête, une fois sorti de mon travail.

   

   Malheureusement pour moi, une fois arrivé au club, c’est dépité que j’aie appris qu’elle était déjà partie. Par chance, ma mine pleine de désespoir, a suffi à convaincre le videur pour m’avouer qu’elle venait de terminer son service il y a peu. C’est donc dans un regain d’espoir que je me suis remis en route pour tenter de la trouver.
Honnêtement, je m’étais attendu à la retrouver dans un tas de postures ou de position différente, mais pas le moins du monde, les genoux au sol occupé à suffoquer.

En la voyant ainsi, j’ai momentanément beugé sur place, ne savant pas trop quoi faire. Cependant, bien vite, mon instinct reprit le dessus, me poussant sans réfléchir à courir dans sa direction. Peu importe si je vais à mettre en danger ma couverture, je ne pouvais décemment pas la laisser mourir devant moi.


-« Vous allez bien ? » Prononçais-je alors une fois à sa hauteur en plaçant mes mains sur ses épaules. Bien évidemment, je sais pertinemment que c’est une question stupide, car cela se voir comme le nez au milieu de la figure qu’elle est occupée à suffoquer.

-« Ça va aller ne vous en faites pas, continuais-je alors tout en gardant mon calme le plus possible. Fermer les yeux, et essayer de visualiser un endroit qui peut vous apaiser. L’océan, un champ de fleur, n’importe quoi qui peut vous calmer. Ensuite, commencer à prendre de grande et lente inspiration. Tout ira bien, je vous le promets »
   
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Sam 29 Sep - 12:31
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question
Nao & April

April savait qu’elle aurait dut rester au club. Au fond d’elle, elle le sentait qu’elle allait faire une crise. Mais elle pensait qu’elle aurait le temps de rentrer dans sa maison, de se poser et de laisser la crise s’estomper avant même qu’elle ne commence. Mais ça n’avait pas été le cas. Bien au contraire, la crise s’était déclarée au pire moment, quand elle était sûrement la plus démunie. Elle l’avait prise d’un coup, l’empêchant de respirer.

Ça expliquait donc que la jeune femme soit sur e sol, incapable de respirer. Elle toussait à n’en plus finir, n’arrivait pas à reprendre une inspiration sans se sentir bruler de l’intérieur. Doucement elle commençait à paniquer, à se sentir partir. Sans air, elle ne pouvait pas survivre, et elle ne pouvait pas mourir maintenant. Elle avait trop à faire encore. Mais sa main tremblante n’arrivait pas à saisir le médicament pour calmer ses crises. Au contraire, elle n’avait plus de force du tout, elle se sentait doucement partir alors que sa vision devenait noir.

C’est là qu’elle entendit la voix. Il lui demandait si ça allait… Elle aurait bien envie de lui crier dessus, de lui hurler, que non, ça n’allait pas, mais elle était trop occupée à suffoquer. Pourtant, elle essaya quand même de se raccrocher à ce qu’il disait. Penser à un endroit calme… Il était gentil lui, elle n’avait jamais rien vu d’autre que des endroits déprimants. Alors plutôt que d’imaginer la mère, elle imagina un endroit où elle se sentait en sécurité. En endroit où elle était protégée, et plus qu’un endroit, c’était les bras d’une personne. Seiki… Doucement, sans s’en rendre compte, à mesure qu’elle se rappelait des moments de joies avec son meilleur ami, elle se calmait. Sa respiration se faisait plus régulière. Toujours anarchique mais au moins, elle arrivait à respirer un minimum.

Les yeux toujours fermés, elles le ouvrit finalement, pour tomber sur le visage de celui qui venait, d’une certaine manière, de lui sauver la vie. Maintenant qu’elle était plus calme, elle pourrait prendre son médicament. Mais c’était sans compter sur ses mains encore tremblantes. Elle essayait pourtant, mais ça lui échappait sans cesse. Pourtant elle ne fallait pas qu’elle se remette à paniquer, pas alors que sa crise semblait enfin passée. Elle en subissait encore les contrecoups, mais elle partait. Alors elle ferrait sans son médicaments tant que les tremblements ne seraient pas calmés.

« Merci. »

Elle restait sur le sol, encore incapable de se relever, ses jambes sans forces. Pourtant, elle se sentait reconnaissante envers cet homme, qui venait très probablement de lui sauver la vie. Levant doucement la tête, elle regarda l’homme, étudiant ses traits. Il ne lui disait rien… Alors d’un coté, elle pouvait avoir confiance non ?
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Sam 29 Sep - 13:45

   


   
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question

   
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Essayant de clamer la jeune femme face à moi, je ne peux malheureusement pas faire grand-chose d’autre, après mes conseils prodigués. Restant donc simplement à ses côtés, je tente par tous les moyens de la rassurer par ma simple présence. Après, je vous l’accord, il est compliqué de se sentir bien entouré quand on est en position de vulnérabilité, face à une personne que l’on ne connait pas le moins du monde. D’autant plus quand on connait la véritable raison de ma présence ici. Par chance, cette April, n’en a pas le moins du monde idée, ce qui me laisse un petit espoir de la voir petit à petit se clamer.

Continuant donc à la rassurer, ce n’est finalement qu’après de longues minutes, du moins, j’en ai eu l’impression que par miracle ou grâce à mes conseils, je ne le saurais jamais, la petite blonde face à moi retrouve une respiration plus régulière. Laissant échapper un soupir de soulagement, je reste malgré tout attentif à ce que son état ne vienne pas à s’empirer une nouvelle fois pour x ou y raison.

-«  Voilà c’est très bien, vous y êtes presque » Lui murmurais-je gentiment tout en venant à lui sourire, lorsque le regard d’April vint enfin se poser sur moi.

L’observant alors en silence, tandis qu’elle récupère peu à peu, je ne peux m’empêcher de remarquer ses mains tremblantes s’acharner sur une petite boite contenant certainement des médicaments. Me mettant alors à sa hauteur, tandis que je l’entends me remercier, je viens tendre doucement ma main vers elle sans faire de geste brusque.

   

   -« Ne me remercier pas, c’est naturel. Je ne pouvais tout de même pas vous laisser suffoquer »

Lui souriant à nouveau, je viens alors prendre délicatement la boite de ses mains. L’ouvrant, je m’empare de l’un des médicaments que je viens placer entre les lèvres d’April. Juste histoire qu’elle ne le fasse pas tomber par terre tremblante comme elle est, si venais à lui donner en main propre.

Suite à cela, et attendant qu’elle avale la petite pilule, je l’observe pendant une demis seconde avant de trouver curieux qu’elle ne se relève pas. Honnêtement, je doute sérieusement que le sol soit autant confortable que cela. Tout en lui rendant donc sa boite, je fais doucement glisser ma main sous l’un de ses coudes, pour lui permettre d’avoir un meilleur appui pour se redresser. Évidemment, en l’aidant, je sens rapidement la lourdeur de son corps qui semble ne plus avoir aucune force.

-«  Ça va aller pour rentrer ? Vous voulez que je vous accompagne jusque chez vous ? Promis, je n’irais pas plus loin que le pas de la porte. »

Pour moi, ma dernière phrase semble logique, mais je préfère prendre mes précautions. Après tout, il ne faut pas oublier que nous nous trouvons dans le quartier le moins sûr de cette ville.


-«  Si …. Si vous n’arrivez pas à marcher, je peux vous prendre sur mon dos. Seulement si vous en avez besoin, bien sûr. »
   
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Ven 12 Oct - 16:49
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question
Nao & April

April n’était pas prête pour la crise qui l’avait suprrise. Mais d’un côté, si elle avait eue lieu, c’était certainement de sa faute. Elle s’était surestimée, bien trop. Puis, cette voix inconnue était arrivée et lui avait murmuré des mots. Elle avait bien eu envie de baffer l’homme, parce qu’à la voix grave, ça ne pouvait qu’en être un, mais elle l’avait finalement écouté, incapable de faire autre chose. Ça avait marché, et April venait juste de le remercier, étudiant à présent son visage. Il ne lui disait rien, mais elle restait méfiante quand même.

Malgré ses remerciements, elle avait vite reporté son attention sur sa boite de médicaments, qui refusait de s’ouvrir malgré ses essais. Ses mains tremblaient trop. Encore une fois, ce fut l’inconnu qui l’aida, lui retirant la boite des mains. Sur le coup, April faillit paniquer. Elle était méfiante, sûrement trop. Mais elle n’était pas très rationnelle, surtout dans cet état et elle pensait qu’il la lui volait. Alors que non. Elle sentit bien vite, plus qu’elle ne vit, la main de l’homme devant ses lèvres et mécaniquement, elle ouvrit la bouche pour avaler la pilule. C’était au moins ça de fait.

Elle devrait le remercier, une nouvelle fois de son geste. Mais elle se sentait gênée April, démunie face à cet homme qui l’aidait. Elle n’arrivait pas à le regarder, baissant plutôt la tête. Pourtant, quand elle le sentit glisser sa main sous son coude, elle ne se gêna pour s’appuyer sur lui, pour se relever. Elle savait l’effet des crises et il lui fallait parfois plusieurs heures pour se remettre totalement de ces dernières.

« Je… »

C’était un peu le fouillis dans la tête de la strip-teaseuse, incapable de savoir quoi répondre. Concrètement, elle n’était pas sûre de tenir debout s’il la lâchait. Mais elle n’arrivait pas à le lui dire, elle ne voulait pas l’obliger à rester et à l’emmener. Parce qu’elle ne lui faisait pas confiance mais aussi et surtout parce qu’elle ne voulait pas mettre les membres de sa maison dans l’embarras en emmenant un inconnu dans ce qui leur servait de QG.

« Je vais envoyer un message à mon grand-frère, il va venir me récupérer ici. Ne vous embêter pas, il me porteras jusqu’à la maison, ce n’est pas très loin. »

Enfin, elle devait arriver à taper le message sur son téléphone de ses doigts tremblants. Mais il était hors de question qu’elle le laisse s’approcher de sa maison.
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Ven 12 Oct - 18:05

   


   
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Honnêtement, bien que je sois un garçon renfermé, il est normal pour moi de venir en aide aux personnes croisant ma route. Il est vrai qu’étant plus jeune, je n’ai pas toujours pensé comme cela, en voulant à la terre entière d’être heureuse, alors que moi, ma mère … enfin ce que je pensais être ma mère, était morte dans d’atroces souffrances. Pourquoi devrais-je les aider, alors que personne ne nous était venu en aide ? C’est mon mode de réflexion, il y a de cela encore peu de temps … jusqu’à ce qu’à ce que ma route croise deux merveilleuses personnes qui ont enfin réussi à me faire sourire. Retrouvant peu à peu le bonheur, je me suis alors ouvert à peu plus aux autres, bien que je n’aime toujours pas parler de moi. Et puis, étant forcé de détruire certaines vies pour New Life Corp, il est bien naturel de vouloir se racheter en faisant quelque bonne action, non ?

Enfin quoi qu’il en soi, c’est principalement pour ça que j’ai aidé cette jeune fille, même s’il est vrai que j’ai de sérieux doutes sur son identité. D’autres collègues à moi, auraient d’ailleurs s’en doute profiter de cet instant pour se rapprocher d’elle, essayé d’avoir d’autres pistes, d’autres indices, mais pas moi. En cet instant, seul compte le bien-être de cette demoiselle. Malheureusement pour moi, elle ne semble pas vraiment disposée à accepter mon aide, alors que je lui ai gentiment proposé de la raccompagner.

-« D’accord, pas de problème, lui répondis-je toujours dans un sourire sans détacher ma main de son bras. Faites à votre aise, j’attendrais qu’il arrive pour être certain que tout aille bien. »

Après tout, même si elle ne veut pas que je l’aide, ça ne veut pas dire non plus que je vais l’abandonner ici dans son état. Surtout que je peux aisément comprendre, au vu de l’endroit, pourquoi elle ne semble pas avoir confiance en moi.

   

   -« Attendez, vous serez certainement mieux en appui sur le mur, pour envoyer votre message »

Voyant parfaitement qu’elle peine à écrire son sms, le fait que je la retienne par le bras ne doit pas arranger les choses. La conduisant donc de quelques pas en arrière, je l’aide à parfaitement prendre appuie contre les briques.

-« Et voilà, nouveau sourire, ne vous en fait pas, je ne reste pas loin, mais je pense que vous avez besoin d’un peu d’air. »

M’éloignant alors de quelques pas, pour ne pas qu’elle pense que j’essaye de zieuter sa conversation, le numéro ou je ne sais pas quoi d’autre, je prends appui un peu plus loin d’elle. Bien sûr, je la garde toujours à l’œil et ceux jusqu’à ce qu’au loin, je vois finalement une silhouette d’homme arrivé dans notre direction.

-« C’est votre frère ? La questionnais-je tout en me décollant du mur, soit pour m’en aller, soit pour la protéger en cas de besoin. Ce qui finalement, ne s’avère pas nécessaire puisque la demoiselle, vint me confirmer rapidement qu’il s’agit bien de la personne contacté. Bon et bien, je vais vous laisser entre ses mains dans ce cas. Prenez bien soin de vous. Lui souriant tendrement, je lui fais un tendre sourire, avant de reprendre ma route, non sans m’être une dernière fois retourné dans sa direction lorsqu’elle vient me demander mon nom. Vous n’en avez pas besoin, c’est mon petit secret d’ange gardien. » Un petit clin d’œil et me revoilà déjà en route direction mon petit chez moi. La prochaine fois que je la suivrais, espérons qu’elle ne fasse pas un nouveau malaise.[/color]
   
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Sam 20 Oct - 22:48
Laisser vivre ou laisser mourir, telle est la question
Nao & April

April s’appuyait de tout son long sur le jeune homme, sans honte. Mais si elle n’avait qu’a moitié confiance en lui, il l’aidait, chose qu’on ne faisait que très peu dans ce quartier, au final. Elle ne pouvait qu’en être heureuse, sinon, elle aurait certainement crevée là, à même le sol et seule, sans avoir accomplit son objectif. Elle avait crut mourir. Mais il était arrivé et l’aidait depuis, d’abord en l’aidant à calmer la crise, ensuite en lui donnant ses médicaments et enfin en la soutenant. Néanmoins, la blonde se savait incapable de marcher dans cet état et refusait qu’il voit où elle habitait, simplement pour protéger les habitants de cette maison qui lui étaient devenu chers et précieux.

Entendant la voix de l’inconnu, elle s’aida au mieux de lui pour arriver jusqu’au mur, où elle se laissa presque glisser contre. Elle se sentait épuisée intérieurement comme à chaque fois pendant ses crises. Néanmoins, elle adressa un petit sourire, timide, au jeune homme. Maintenant qu’elle voyait plus son visage, April pouvait dire qu’il était sympathique à regarder et qu’il ne semblait pas méchant. Mais ici, il fallait toujours se méfier malheureusement.

« Merci beaucoup pour votre aide… J’envoie un message à mon frère, il devrai venir rapidement. »

C’était vrai, après tout, elle avait fait sa crise à quelques minutes de la maison. Franchement, un peu plus et elle y était… Soupirant, elle tapa quand même son message, essayant de faire le plus rapidement possible, avec ses mains tremblantes. Chose assez difficile mais qu’elle arriva tout de même à faire dans un temps assez court. Maintenant, la strip-teaseuse n’avait plus qu’à attendre l’arriver de son protecteur, qui aux yeux du monde devait être son frère.

Nerveusement, elle attend, jouant avec son téléphone, enlevant et remettant al coque. Elle ne sait pas quoi dire pour briser le silence et n’ose pas le remercier de nouveau. Après tout, elle l’a déjà fait plusieurs fois. Mais en elle, il s’inscrit cette idée qu’elle lui doit une dette. Il lui a sauvé la vie, ça le vaut parfaitement. Finalement, il l’interpelle, pour lui demander si la silhouette qui se rapproche ai bien celui qu’ils attendaient. Elle hoche fermement de la tête, ne pouvant empêcher un léger sourire, même si fatigué. À peine arrivé, il s’inquiète pour elle, mais elle le rassure de quelques mots brefs.

Il ne faut que peu de temps avant qu’elle ne se retrouve dans ses bras, prête à rentrer. Mais avant, April a besoin de savoir quelque chose et se retournant vers celui qui l’a sauvé, elle ouvre la bouche pour parler.

« Comment vous vous appelez, que je puisses vous remercier plus tard ? »

Elle tenait sincèrement à lui exprimer sa gratitude, à un moment où elle serait le mieux. Même si pour le retrouver, se serrait plus dur, elle savait qu’elle en serait capable. Finalement, ils se séparent, la blonde fermant les yeux dans les bras de son protecteur. Elle se sent bien ici, elle allait pouvoir se reposer.
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